Expo Sokal... après.




Un crayon d'une précision extrême, un imaginaire affolant de poésie et de beauté. Vraiment, la séduction totale. Le lien entre dessin et 3D du jeu est fait. Dans un coin tournent en boucle les scènes animées d'Amerzone, Syberia I et II, ainsi que le preview de Paradise. On croise les regards fascinés.
A l'étage, place davantage à la BD, inspecteur Canardo, le Vieil homme qui n'écrivait plus... Planches et croquis, et encore quelques images de l'Amerzone.
Sokal inspire un sentiment de respect, pour son perfectionnisme intense, pour sa sensibilité du grandiose dans l'image, pour son imagination riche. Surtout parce que ses dessins ne laissent pas de marbre, parce qu'un regard, une scène, une créature, tout laisse place à l'émotion. Son oeuvre, qu'elle soit sur papier ou retransposée en animation, a oublié d'être désaffectisée, et c'est très bien. Très.
Beaucoup d'émotion, donc. Beaucoup de couleurs, même en noir et blanc, on s'en met plein les yeux.
A l'étage, place davantage à la BD, inspecteur Canardo, le Vieil homme qui n'écrivait plus... Planches et croquis, et encore quelques images de l'Amerzone.
Sokal inspire un sentiment de respect, pour son perfectionnisme intense, pour sa sensibilité du grandiose dans l'image, pour son imagination riche. Surtout parce que ses dessins ne laissent pas de marbre, parce qu'un regard, une scène, une créature, tout laisse place à l'émotion. Son oeuvre, qu'elle soit sur papier ou retransposée en animation, a oublié d'être désaffectisée, et c'est très bien. Très.
Beaucoup d'émotion, donc. Beaucoup de couleurs, même en noir et blanc, on s'en met plein les yeux.
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